L'unité de l'eau de la ville de Tabqa a confirmé que 9 stations de pompage d'eau ont été complètement mises hors service et ont privé d'eau ceux qui en dépendaient, en raison du confinement continu de l'eau de l'Euphrate par l'État d'occupation turc.

L’unité de l’eau de la ville de Tabqa a confirmé que 9 stations de pompage d’eau ont été complètement mises hors service et ont privé d’eau ceux qui en dépendaient, en raison du confinement continu de l’eau de l’Euphrate par l’État d’occupation turc.

Aujourd’hui, plusieurs membres de l’Unité de l’eau de Tabqa, représentants de l’Administration civile démocratique de Tabqa, se sont réunis pour faire une déclaration sur la réalité de l’eau de l’Euphrate et ses répercussions sur le nord-est de la Syrie.

L’appel lu par Hammoud Al-Sheikh, co-président de l’Unité de l’eau de Tabqa, note que l’État d’occupation turc continue de couper l’eau du nord-est de la Syrie et utilise l’eau comme une arme contre les habitants de la région, mentionnant qu’il a coupé l’eau potable de Hasaka et a retenu l’eau de l’Euphrate.

La déclaration souligne la violation continue par la Turquie des accords signés concernant les eaux de l’Euphrate et son mépris permanent de ces accords, ainsi que la réalité des eaux du fleuve : “Elle a entraîné une baisse du niveau des barrages et des lacs, y compris le barrage de Tabqa, qui a perdu 4 milliards de mètres cubes d’eau en raison de ces pratiques.

La déclaration note la conversion des stations destinées à fournir de l’eau potable à la population, de leurs pompes verticales à des pompes horizontales, et l’arrêt définitif de 9 stations, privant ainsi d’eau ceux qui en dépendaient.

La déclaration appelle les Nations Unies à jouer un rôle efficace pour sauver la population de la Syrie en général et de la Syrie du Nord-Est en particulier, et pour empêcher l’État d’occupation turc de poursuivre ses crimes de guerre contre les Syriens.

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