L'État turc a intensifié sa présence militaire au Sud du Kurdistan (Kurdistan irakien), envoyant un nombre important de véhicules blindés et de camions vers la ville de Şêladize dans la région de Duhok. Ces envois militaires sont effectués sous la supervision du Parti Démocratique du Kurdistan (PDK).

L’État turc a intensifié sa présence militaire au Sud du Kurdistan (Kurdistan irakien), envoyant un nombre important de véhicules blindés et de camions vers la ville de Şêladize dans la région de Duhok. Ces envois militaires sont effectués sous la supervision du Parti Démocratique du Kurdistan (PDK).

Parallèlement aux envois militaires, la Turquie a lancé des attaques aériennes intenses sur les régions frontalières de Biradost. Ces frappes aériennes auraient provoqué un grand incendie dans la zone, aggravant une situation déjà tendue.

Les derniers rapports indiquent que les régions de Darista, Kem Kora, Gerwî Robî, Ruwala et Pingosta à Biradost ont été bombardées. Les attaques continues ont entraîné des destructions significatives et accentué les craintes de la population locale.

Les opérations ont entraîné des déplacements massifs et ont été critiquées pour leur impact sur la vie des civils et l’environnement.

Alors que les responsables du Gouvernement régional du Kurdistan (GRK) restent silencieux face aux attaques turques, les observateurs internationaux et les organisations de défense des droits humains ont condamné les attaques, appelant à la fin des hostilités et à une focalisation sur des solutions diplomatiques.

Ces actions ont de graves implications pour la population locale, qui fait face à des déplacements et à la destruction de leurs maisons et de leurs moyens de subsistance. La réponse de la communauté internationale et les efforts vers une résolution pacifique restent cruciaux pour traiter la crise humanitaire qui se déroule dans la région.