Des centaines de jeunes militants venus de différents pays européens participent à la longue marche pour la libération d'Abdullah Öcalan
Des centaines de jeunes venus de différents pays européens participent en France à la longue marche pour la libération du leader kurde Abdullah Öcalan

Des centaines de jeunes militants venus de différents pays européens participent à la longue marche pour la libération du leader kurde Abdullah Öcalan.

La longue marche commencée en France pour exiger la libération du leader kurde et dénoncer le complot international qui a conduit à son arrestation au Kenya le 15 février 1999 est entrée dans son quatrième jour.

La « Marche de la liberté » initiée par les mouvements de jeunesse kurdes a démarré à Sierentz, en France, le 6 février.

Les militants, qui avancent vers la ville de Strasbourg où un rassemblement central aura lieu le 11 février pour protester contre la conspiration internationale du 15 février, ont entamé leur quatrième jour à Bergheim.

Au cours des trois derniers jours, les marcheuses et marcheurs ont subi des attaques fascistes et des interventions de la police qui a menacé à plusieurs d’interrompre la manifestation.  

Des drapeaux du Parti des Travailleurs du Kurdistan (PKK) et des bannières à l’effigie d’Öcalan sont déployés dans le cortège auquel participent des centaines de jeunes venus de différents pays européens.

Les manifestants devraient arriver en fin de journée dans la ville de Sélestat.