Les autorités iraniennes ont arrêté et placé en détention au moins 41 Kurdes au cours des deux dernières semaines, a déclaré une organisation de défense des droits humains.
Dix-huit des détenus sont accusés d’ « activités politiques », deux d’ « activités religieuses », un autre d’ « activités médiatiques ». 12 d’entre eux sont des bergers.
Parmi les détenus, huit sont originaires du Sud-Kurdistan (Irak) et quatre autres du Nord-Kurdistan (Turquie).
Ces cas sont similaires à celui du prisonnier politique kurde Ramin Hossein Panahi, arrêté par les autorités iraniennes l’année dernière et condamné à mort en janvier 2018 par un tribunal iranien pour avoir pris les armes contre l’État.