Les Forces de défense du peuple (HPG) rapportent des bombardements répétés dans les zones de défense de Medya, incluant l'emploi présumé de munitions prohibées et d'une bombe nucléaire tactique.

Les Forces de défense du peuple (HPG) rapportent des bombardements répétés dans les zones de défense de Medya, incluant l’emploi présumé de munitions prohibées et d’une bombe nucléaire tactique.

Les Forces de défense du peuple (HPG) ont émis une alerte concernant une série d’attaques intensives par l’armée turque dans les régions de défense de la guérilla, situées dans le sud-Kurdistan (nord de l’Irak), entre le 15 et le 17 décembre.

Selon le communiqué du centre de presse des HPG, les positions de la guérilla ont été ciblées par des moyens de combat controversés, notamment des bombardements répétés avec des explosifs non conventionnels et l’utilisation alléguée d’une bombe nucléaire tactique.

Dans la région de Xakurkê, des interventions d’hélicoptères d’attaque ont été rapportées les 15, 16 et 17 décembre. Les forces guérillas ont répondu, forçant les hélicoptères à se retirer.

Le 16 décembre, des positions ennemies à Girê Şehîd Kamuran ont été ciblées par des armes lourdes.

Des attaques avec des explosifs et des gaz chimiques interdits ont été signalées dans la zone de résistance de Girê Ortê à Metîna, ainsi que l’usage présumé d’une bombe nucléaire tactique.

Le 17 décembre, des bombardements avec des explosifs interdits ont également été rapportés dans la zone de Sîda à Zap.

Des attaques par drones chargés d’explosifs ont visé la position de Şehîd Diyar à Zap.

L’armée turque est accusée d’avoir mené 16 frappes aériennes dans les régions de Xakurkê, Zap et Garê, avec des bombardements répétés sur des cibles spécifiques. En outre, des attaques par hélicoptères et des bombardements d’artillerie ont été signalées dans plusieurs régions, dont Zap, Şehîd Delîl Western Zap, Metîna et Xakurkê.

Ces récents développements soulignent l’intensification du conflit dans le sud du Kurdistan, avec des implications significatives pour la sécurité régionale et le droit international, étant donné l’utilisation alléguée de munitions interdites. Les observateurs internationaux et les organisations de défense des droits de l’homme suivent de près la situation, appelant à une enquête approfondie sur ces accusations graves.