Des dirigeants communautaires avisés de Qamishlo et de Hassakê ont condamné samedi le silence de la communauté internationale à propos des attaques turques contre la région du Nord et de l’Est de la Syrie. 
La région de Hassakê, dans le nord de la Syrie.

Des dirigeants communautaires avisés de Qamishlo et de Hassakê ont condamné samedi le silence de la communauté internationale à propos des attaques turques contre la région du Nord et de l’Est de la Syrie. 

Les représentants de différents tribus de Qamishlo et de Hassakê ont souligné qu’il était inacceptable que le monde permette à des millions de personnes de ne pas bénéficier de l’eau en raison de l’approche inhumaine de la Turquie.

Les représentants de ces tribus ont pris la parole lors de différentes réunions à Qamishlo et Hassakê et ont déclaré que la communauté internationale devrait prendre des mesures pour arrêter les attaques de l’État turc dans la région.

La déclaration à Hassakê a été lue par Mehmûd El Nezal, membre du Conseil local de Hassakê, qui a rappelé que l’État turc laisse près d’un million et demi de personnes sans eau. Nezal a ajouté que l’accès à l’eau de l’Euphrate devrait être accordé conformément aux accords.

Lors de la déclaration à Qamishlo, Hewas Cidê, coordinateur du comité des sages de Qamishlo, a appelé le Conseil de sécurité de l’ONU et la Ligue arabe à arrêter les attaques de l’Etat turc.

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