Les conditions de vie dans la ville de Serêkaniyê, occupée par l’État turc, se détériorent en raison de l'augmentation exorbitante des prix des matériaux, en particulier du carburant, puisque le prix du baril de diesel atteint 800 000 livres syriennes avec l'arrivée de l'hiver, tandis que le prix du baril d'essence atteint plus d'un million de livres syriennes.
Ville de Serêkaniyê (Ras al-Ain), occupé par la Turquie dans le nord-est de la Syrie

Les conditions de vie dans la ville de Serêkaniyê, occupée par l’État turc, se détériorent en raison de l’augmentation exorbitante des prix des matériaux, en particulier du carburant, puisque le prix du baril de diesel atteint 800 000 livres syriennes avec l’arrivée de l’hiver, tandis que le prix du baril d’essence atteint plus d’un million de livres syriennes.

Il existe de nombreux crimes commis par l’occupation turque et ses mercenaires depuis le début de l’opération d’invasion lancée sur Serêkaniyê le 9 octobre 2019.

De nombreuses personnes sont enlevées par des mercenaires pour motifs qu’elles seraient en contact avec les déplacés dans l’Administration autonome du Nord er de l’Est de la Syrie. Par ailleurs, il est interdit se promener dans la ville après 20 heures.

Selon l’agence de presse kurde Hawarnews, dans la ville où les conditions de vie se dégradent, le prix d’un baril de diesel est supérieur à 800 mille livres syriennes (environ 320 dollars américains). Un baril d’essence coûte plus d’un million de livres syriennes (environ 400 dollars américains).

Les habitants de la ville ne parviennent pas subvenir à leurs besoins quotidiens en raison du coût élevé de la vie.

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