Les tanks, les explosions et tirs des policiers ou gendarmes ont fait 64 morts et 62 blessés, depuis la mise en place et la prolongation de l’état d’urgence en Turquie.

23 personnes ont été écrasés par les tanks et 29 autres personnes tués par balles pour avoir refusé de s’arrêter lorsque les policiers les avaient interpellés. De plus, 12 enfants ont perdu la vie et 28 autres ont été blessés par les mines disposées dans les villes qui étaient sous couvre feux.

Les autorités gouvernementales et les maires n’ont en aucun cas pris la parole et publient à chaque fois une déclaration dans laquelle les civils décédés lors de ces évènements sont qualifiés de « collaborateurs ».  L’ouverture d’une enquête concernant ces assassinats a été refusé par les services judiciaires et militaires.

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