L’Académie de la modernité démocratique vient de publier une nouvelle brochure intitulée « Écologie – La rébellion de l’environnement ».
L’Académie de la modernité démocratique a publié une nouvelle brochure en anglais et en allemand intitulée : « Écologie : La rébellion de l’environnement ». La brochure est une compilation des idées d’Abdullah Öcalan sur les problèmes écologiques et les solutions nécessaires.
En introduction de la brochure, l’Académie déclare: « Avec la démocratie radicale et la libération des femmes, l’écologie est un pilier central du paradigme de la modernité démocratique. Dans le contexte de la catastrophe climatique qui ne cesse de s’aggraver et de la discussion nécessaire sur une stratégie appropriée pour les mouvements écologiques dans le monde entier, les idées d’Öcalan résumées dans cette brochure revêtent une importance particulière. Alors que le capitalisme agressif s’attaque à l’environnement dans de nombreuses régions du monde – comme l’écocide ciblé au Kurdistan ou le néo-extractivisme en Amérique latine – les propositions d’Öcalan et la tentative visible de les mettre en œuvre au Kurdistan peuvent être la bonne recette pour un monde en proie à la destruction de l’environnement ».
L’introduction ajoute : « La relation entre la société et la nature est un domaine auquel les sciences sociales s’intéressent de plus en plus. Même s’il est évident que l’environnement a une influence sur la société, ce fait n’est devenu que récemment un sujet de recherche scientifique et de philosophie. Cet intérêt a été déclenché par la reconnaissance de l’ampleur catastrophique de l’impact du système social sur l’environnement. Lorsque nous cherchons la source de ce problème, nous rencontrons le système social dominant, qui est dangereusement en contradiction avec la nature. Il est de plus en plus évident, d’un point de vue scientifique, que l’aliénation de l’environnement naturel est à l’origine de milliers d’années de conflits au sein de la société. Plus les conflits et les guerres au sein de la société se sont multipliés, plus la contradiction de la société avec la nature s’est accrue. Aujourd’hui, le mot d’ordre est la subordination et l’asservissement de la nature, ainsi que l’appropriation et l’exploitation impitoyables de ses ressources ».