Des enfants d'une école de la fédération du nord de la Syrie.

Les attaques de l’armée turque se poursuivent dans la ville d’Afrin où 50 000 élèves étudiaient avant les bombardements.

Depuis le 20 janvier, 27 écoles ont été prise pour cible par l’armée turque et ses alliés, tuant 13 étudiants.

Les affrontements entre l’armée d’Erdogan/les groupes de l’Armée Syrienne Libre et les Forces Démocratiques Syriennes s’intensifient dans les provinces de Cindirêsê, Şiyê, Şera et Reco.

Le canton d’Afrin qui subit des attaques aériennes et terrestres, a dû fermer les écoles et lieux de formations.

Le co-président du Comité pour l’Education d’Afrin, Mihemed Reşit a affirmé que les écoles de Şiyê, Reco et Şera étaient totalement détruites et qu’ils essayaient de protéger les élèves et étudiants des bombardements.

Reşit a ajouté qu’ils s’entretenaient avec l’UNICEF et de nombreuses institutions pour transmettre les informations qu’ils avaient. « Nous présenterons nos documents concernant les écoles touchées et nos étudiants tués. Qu’ils viennent à Afrin. Ici, ce sont des civils qui sont tués. Les femmes et enfants se font massacrer. C’est une guerre contre l’Humanité. Qu’ils entendent la voix d’Afrin. Nous faisons face à une destruction culturelle, historique et humaine. Le peuple d’Afrin s’est mobilisé face aux attaques et se mobilisera jusqu’à la fin des attaques ».

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